📸 PHOTOSHOOT #7
CAROLINE & LIONEL

Pas toujours facile de porter la Vie. Ma sœur le sait mieux que quiconque. Pour cette seconde grossesse, elle sera à nouveau confrontée au vomito du premier jour jusqu’à la naissance. 9 mois de galères qui en valaient la peine puisqu’au bout du tunnel, Romane, ma nièce, a vu le jour, et tout comme son grand frère, elle est évidement le plus beau bébé du monde (#objectivité).

C’est vrai qu’après quelques essais, j’ai pris goût à photographier ces instants de bonheur, de la grossesse à la naissance. Immortaliser ces moments de joie pour ma sœur, ce n’était pour moi pas un pari facile, mais finalement, on s’en est bien sortis je crois !

Pour ce shooting grossesse du mois de janvier, il fallait bien rester dans l’ambiance hivernale. Idéal pour ressortir la guirlande du sapin et essayer un nouveau fond, noir cette fois-ci. Des accessoires très simples pour transformer la salon en studio photo ! Ce fond noir, c’était la première fois que je l’essayais. L’objectif était de faire transparaitre le lien étroit entre une mère et celle qui s’appelait encore “Cacahouète”. Le résultat est à la hauteur de ce que j’avais imaginé et j’en suis plus que ravie.

Parce qu’une grossesse est le plus souvent quelque chose que l’on partage à deux, il était temps de mettre le futur papa à l’honneur. Un moment tout en complicité, avant l’arrivée de leur deuxième enfant.

Changement de décor pour l’occasion. Un mur blanc pour exprimer cette-fois ci la lumière qui animent les futurs parents, en attente de l’heureux événement.

Si je dois être honnête avec vous, je dois vous avouer que les bébés, ce n’est pas vraiment mon truc. Ceci étant dit, ce n’est pas parce que je ne suis pas à l’aise avec eux que je ne n’aime pas les photographier et figer leur minois de nourrisson. Et j’avoue que j’étais ravie d’attraper au vol un petit instant de ce bonheur familial.

L’exercice n’est clairement pas facile pour quelqu’un qui n’a ni l’habitude, ni le codes pour photographier les bébés. Du coup, on n’oublie la technique un instant. Là, on est sur du feeling brut. Heureusement pour moi, Romane était un modèle très zen, ce qui m’a finalement permis de faire relativement ce que j’imaginais.