Nous avons passé 4 jours dans le parc national d’Etosha. C’était une étape obligatoire et indispensable de notre voyage en Namibie, peut-être la plus attendue, sûrement la plus marquante.
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UN SAFARI INOUBLIABLE À ETOSHA
THIS IS NAMIBIA #4 |
UN SAFARI INOUBLIABLE À ETOSHA
LE PARC | TOUTES LES INFORMATIONS PRATIQUES
Avant de passer au vif du sujet, je pense qu’il est important de faire un point sur ce qu’est Etosha National Park.
• Etosha en quelques mots
Etosha est situé dans la région du Kunene (Kaokoland), au Nord de la Namibie. Ce sera le point le plus haut que nous aurons visité dans le pays. Il s’agit d’une aire protégée de près de 22 000 km2, ce qui fait d’elle une des plus grandes réserves animalières d’Afrique. Seul un petit tiers du parc est accessible aux touristes, laissant les animaux la possibilité de vivre dans leur état naturel sans grandes interférences.
La faune sauvage y est abondante, avec pas moins de 114 espèces de mammifères et 340 espèces d’oiseaux (selon wikipedia), vivant en liberté.
• Se rendre à Etosha
Etosha est situé à 400 km au nord de la capitale, Windhoek. Vous pouvez entrer dans Etosha par 4 portes différentes : Galton Gate à l’extrémité sud-ouest, Anderson Gate à l’extrémité sud, Von Lindequist Gate à l’extrémité est, et King Nehale Lya Mpingana Gate à l’extrémité nord.
• Depuis Windhoek, il vous suffira de suivre la B1 qui est la route goudronnée principale du pays, puis de finir par la C38 les derniers kilomètres. Vous entrerez alors par Von Lindequist Gate, la porte la plus à l’Est du parc.
• Depuis Spitzkoppe (notre étape précédente), située plus au sud du parc, il nous aura fallu faire un peu plus de 7h de route sur les pistes namibiennes. Nous avons dû rejoindre la B2, puis la C33 jusqu’à Otjiwarongo, dernière “grande” ville avant le parc. Nous avons ensuite emprunté la B1 jusqu’à Outjo, la C38 puis la C40 jusqu’à Kamamjab, pour finir sur les C35 et D2763 jusqu’à Galton Gate. Des tours et des détours pour avancer plus vite et rouler le plus possible sur les routes les moins escarpées.
Le premier soir, nous sommes donc entrés par Galton Gate, alors que les jours suivants, nous sommes entrés par Anderson Gate.
• Le prix d’une journée dans le parc
En 2019, l’entrée au parc nous a coûté 170 NAD pour deux personnes avec une voiture et par jour, soit 10,40€. Aujourd’hui, le prix de l’entrée par personne et par jour est à 150 NAD, soit 7,33€. Vous pouvez donc faire une journée de safari pour un prix totalement dérisoire, malgré l’augmentation du tarif !
Si vous logez dans un des campements présents dans le parc, alors il vous faudra montrer le justificatif à l’entrée, et vous pourrez vous y rendre jusqu’au coucher du soleil. Votre entrée sera valable 24h.
• Visiter le parc national d’Etosha
Les horaires d’ouverture
Les horaires d’ouverture du parc changent toutes les semaines, en fonction du lever et du coucher du soleil. Grosso modo, le parc est ouvert à partir du moment où le soleil se lève, et ferme à partir du moment où le soleil se couche (aux alentours de 19h à la période où nous y étions).
Vous trouverez d’autres informations sur le site officiel du parc, pour préparer votre visite.
Se déplacer dans le parc
Pour parcourir le parc, vous avez deux possibilités : soit par vos propres moyens, c’est-à-dire à bord de votre véhicule, soit avec un guide avec un véhicule spécial ouvert en hauteur. Nous n’avons personnellement pas eu recours à un guide, les routes étant largement praticables à ce moment-là.
Je pense que le seul avantage d’avoir recours à un guide est qu’ils savent où sont certaines espèces qu’on ne voit pas forcément quand nous ne sommes pas accompagnés. Par exemple, nous n’avons pas vu le léopard qu’un autre couple de français nous a dit avoir vu le même jour, ce qui ne nous a pas empêché de voir tout un tas d’autres animaux, et souvent sans personne autour de nous.
N’oubliez pas que vous allez faire beaucoup de kilomètres à travers le parc. N’oubliez pas de vérifier la jauge d’essence et de faire le plein en fonction. Il y a des stations essence à Okaukuejo Camp (proche d’Anderson Gate), Halali et Namutoni (proche de Von Lindequist Gate).
Les règles de sécurité
Sortir du véhicule est strictement interdit, pour des questions de sécurité (et de bon sens). À Etosha, ce sont donc les humains qui sont en cage, et non les animaux. Pour faire vos besoins (toilettes sèches), ou pour manger, il faudra vous rendre dans les espaces dédiés sécurisés.
L’autre possibilité est de se rendre dans les camps, qui sont eux aussi sécurisés. Souvent, nous allions à Okaukuejo Camp, qui ont des toilettes normales et non des toilettes sèches.
La vitesse dans le parc est réduite et limitée à 60km/heure maximum. Il faudra scrupuleusement rester sur les voies dédiées à la circulation et ne pas en sortir, pour la tranquillité des espèces.
Il y a des panneaux pour vous guider dans le parc, indiquant les différentes portes d’entrée/sortie, les toilettes, les points d’eau et les campings. Nous nous aidions de la carte routière que nous avions achetée avant notre départ, et de maps.me, qui nous aura aidé durant tout notre voyage et s’utilise sans avoir besoin de réseau cellulaire (il n’y a pas de réseau dans le parc).
• Trouver les animaux
Nous n’avons pas visité l’intégralité d’Etosha, n’étant allés que jusqu’à Halali, grand maximum, mais cela ne nous a pas empêchés de croiser bon nombre d’espèces.
Souvent, dans la journée, quand les températures étaient trop élevées, nous n’avons observé que des zèbres ou des antilopes de toute sorte, les espèces plus “emblématiques” se cachant à l’ombre. Il nous aura alors fallu attendre la fin d’après-midi pour voir des espèces plus imposantes. Dans tous les cas, nous n’avons pas passé une journée sur les 3 sans croiser de girafes ou des éléphants.
En revanche, nous n’avons vu des lionnes qu’une fois, en fin de journée, et de rhinocéros noir qu’un matin à l’aube et en début de nuit à Olifantsrus Camp, depuis la passerelle d’observation.
Durant notre séjour, nous avons observé peu d’oiseaux, à mon plus grand regret, et nous n’avons pas non plus croisé de hyènes, même pas tôt le matin.
Mon conseil serait de simplement vous promener au volant de votre véhicule à petite allure, et d’observer tout ce qui vous entoure. Il faudra vous montrer souvent patients, nous restions parfois plus d’une heure à côté d’un point d’eau sans observer grand-chose d’autre que des springboks, jusqu’à ce qu’un troupeau d’éléphants arrive pour boire et s’asperger d’argile (pour se protéger des parasites), leur donner cet aspect très gris clair/blanc lorsque ça sèche. On les appelle alors ghost elephants. Cela nous a valu une rencontre incroyable d’une centaine d’individus, avec de nombreux jeunes éléphants.
• Manger à Etosha
Il y a, au même endroit que les toilettes sèches, des aires de pique-nique sécurisées. Vous pourrez également trouver des épiceries avec un choix limité de denrées dans les différents campings du site.
Nous avons profité d’un passage imprévu en ville, à Outjo pour faire quelques courses pour plusieurs jours. Nous mangions en réalité surtout le matin et le soir, au camping.
Petite bizarrerie qui nous est arrivée : nous avions deux steaks hachés dans le frigo à l’arrière (espace clos) du 4×4. Ça n’a posé aucun souci lors de la fouille d’entrée dans le parc, mais lors de notre sortie, la personne ayant procédé à la fouille du véhicule, nous a jeté les denrées à la poubelle (nous privant au passage de repas pour le soir). Nous n’avons pas bien compris étant donné que nous étions en train de sortir du parc, et que nous y avions passé la journée sans que ça ne pose le moindre souci…
JOUR 1 | UNE NUIT DANS LE PARC NATIONAL, À OLIFANTSRUS CAMP
Pour notre première journée, il faut plutôt parler de soirée.
Nous sommes arrivés, comme précisé plus haut, vers 16h30 à Galton Gate, pour nous rendre à Olifantsrus Camp, un campement au cœur du parc, nous permettant d’avoir accès à une passerelle d’observation au-dessus d’un point d’eau.
Dès nos premiers kilomètres dans le parc, alors que nous avions 60 km à parcourir jusqu’au campement, nous pouvons observer des girafes, des zèbres et surtout, celui que je voulais voir depuis tant d’années dans son environnement naturel, l’éléphant ! Ça me paraissait tellement irréel… La lumière s’échauffait dehors, donnant des tons orangés absolument magnifiques pour capturer ce moment. J’en avais les larmes aux yeux…
Nous avons poursuivi notre route jusqu’au campement avec une excitation enfantine, et les yeux vifs pour apercevoir d’éventuelles autres espèces. L’horloge tournait, et il nous fallait regagner le camp avant le coucher du soleil tout en respectant les limitations de vitesse. Arrivés sur place, nous avons pu nous rendre à la parcelle d’observation du camping, qui offre une vue plongeante sur un point d’eau. Une situation réellement privilégiée, qui nous aura permis de rencontrer 3 rhinocéros noirs, de nuit.
Durant la nuit, nous avons été réveillés par un troupeau d’éléphants (probablement) se rendant au point d’eau. Entendre à ce moment-là toutes les fermetures éclair des tentes s’ouvrir et se refermer nous a fait rire.
JOUR 2 | D’OLIFANTSRUS CAMP À ANDERSON GATE
Comme je vous le disais plus haut, nous n’avons pas été plus loin que Halali durant les 3 jours que nous avons passés dans le parc, ayant trouvé un camping parfait aux abords d’Anderson Gate. Par contre, nous avons ratissé de long en large la zone entre Halali et Anderson Gate. Nous avons passé notre premier jour dans le parc entre Olifantsrus Camp et Anderson Gate, un parcours d’environ 130km.
Avant de partir du camp, nous nous sommes rendus au point d’eau pour voir les animaux qui y viennent le matin. Nous voyons bon nombre d’espèces, dont un impala, un kudu majestueux, et un zébulon accompagné de ses parents. C’était absolument adorable.
Cette journée aura été fructueuse en éléphants et en zèbres. Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois face à des troupeaux d’éléphants entiers se rendant à un point d’eau. Un spectacle saisissant, avec bon nombre de petits un peu maladroits. Voir ça en vrai, ça fait toujours un petit quelque chose.
BRÈVES DE VOYAGE | “IF YOU HAVE AN ACCIDENT, GO TO THE POLICE STATION”
Haaaa les ennuis. Vous en laissez partir un, et d’autres débarquent au galop ! Ce jour-là, nous nous arrêtons à Okaukuejo Camp pour une pause pipi, Pépito au volant du véhicule, moi en passager. Nous sommes alors derrière un autre 4×4. Celui-ci, cherchant une place de stationnement (et ce n’est pas ce qu’il manquait !!!) s’arrête net en plein milieu de la place centrale. Nous sommes derrière lui, à quelques mètres, arrêtés en attendant qu’il ponde son œuf, clairement, on n’avait pas à faire à un as du volant. De là, et assez brusquement, il enclenche la marche arrière, et comme n’avait pas du tout compris qu’il n’était pas seul au monde, commence à reculer, alors que nous étions à quelques mètres.
Pépito me dit “mais il recule ce con” sans réagir puisqu’une voiture était encore derrière nous. Je me lance sur le klaxon et reste appuyé dessus pour qu’il s’arrête, mais non, il continue, et de bon cœur ! Il finit sa route dans notre pare-chocs avant, alors que vraiment, le coup de klaxon a duré une dizaine de secondes…
Et là, je suis sortie de la voiture, hors de moi. Je l’ai insulté tellement fort, même si nous ne parlions pas la même langue, il a compris ce que je lui disais. Et ce n’est pas comme si nous n’avions encore eu aucun souci particulier avec le véhicule, et que nous ne savions pas encore à quelle sauce nous allions être mangés… Les rangers arrivent, moi je dois vraiment faire pipi donc je vais me soulager, et, comble du culot, quand je reviens 2 minutes plus tard, je vois le véhicule qui nous est rentré dedans…se barrer !
C’est sa roue de secours qui a tapé notre pare-chocs. Lui n’avait rien, nous, nous avions le pare-chocs légèrement enfoncé et une pièce qui pendouillait un peu. Pendant que les rangers du camp regardaient les dégâts avec Pépito, l’allemand s’est littéralement fait la malle, épris d’un courage extrême pour assumer sa faute. Évidemment, nous n’avions pas de plaque d’immatriculation, pas de nom de loueur, rien. J’ai demandé aux gens qui étaient témoins de la scène, dont une famille française, s’ils avaient relevé quelque chose, mais sans succès. Pas de réseau non plus pour appeler le loueur.
Un ranger demande à un de ses collègues de chercher du serflex, puisqu’en Namibie, vous l’aurez compris, tout se résout avec du serflex. Il revient avec 1 serflex au lieu de plusieurs, et, combles du comble, nous demande de le payer pour avoir cherché le serflex. Oui, oui… Soit, nous lui lâchons 20 NAD et nous nous barrons de là, énervés comme jaja.
La journée passe, les réflexions sur la situation aussi. Nous décidons de nous rendre au commissariat de police dès le lendemain matin pour être couverts en cas de soucis au moment de rendre la voiture, le loueur nous ayant répété des dizaines de fois “Il you have an accident, go to the police station”. Et là, le calvaire continue…
Le commissariat le plus proche était à Outjo, à 1 heure de route de notre camping. Comme nous étions en ville et que nous avions toutes nos affaires, dont l’appareil photo de valeur, je décide de rester dans la voiture pendant que Pépito se rend au commissariat, pour essayer d’expliquer en anglais la situation et de déposer une genre de plainte. Un poème !
Je suis restée 2h dans la voiture transformée en fournaise, et dès que j’ouvrais la fenêtre même de quelques centimètres, on venait me demander de l’argent. J’avais l’impression de cuire et devenir folle.
Pépito, lui, vivait une situation complètement lunaire de son côté : d’abord, l’attente, où le policier de l’accueil drague une prévenue qui a été prise en flagrant délit de vol. Quand c’est à son tour, il explique qu’on nous est rentré dedans, mais que la personne a pris la fuite et que nous devons rendre la voiture avec une plainte officielle pour être couverts. La policière ne comprend pas grand-chose et lui dit de revenir avec le coupable… après de longues explications, elle fait un papier. Il faut payer 60 NAD de frais de dossier, et signer le registre papier, qui se balade entre agents. Encore de l’attente. Il demande la copie du document, mais là, surpriiiiise le commissariat n’a pas de photocopieuse, il faut aller chez un marchand de l’autre côté de la rue et payer notre photocopie. Bref, c’était les 2 heures les plus longues de ma vie, et les plus WTF pour Pépito.
JOURS 3 & 4 | ENTRE ANDERSON GATE ET HALALI
Nous nous sommes levés tôt pour pouvoir venir dans le parc dès son ouverture. C’est ainsi qu’à à peine quelques mètres de l’entrée, nous avons pu observer un rhinocéros noir manger des branches d’épineux. Nous n’en croyons pas nos yeux ! Pour moi, c’était impossible d’en croiser un de la sorte, mais si, il était là, seuls face à lui, à moins de 10 mètres de nous.
• Notre rencontre avec les lionnes
C’est en fin de journée que nous avons pu voir le Graal pour nous : les lionnes ! Autant nous avions croisé 2 lions la veille, à l’ombre des arbres, autant, nous voulions voir les lionnes, qui sont pour le coup plus expressives et moins amorphes.
Nous étions un long moment aux abords du point d’eau Nebrowni, situé sur la terre des lions, en vain. Défaitistes, nous avons décidé de regagner le camping vers 18h45, le parc fermant ses portes à 19h. Sur la route du retour vers Anderson Gate, nous sommes tombés nez à nez avec un groupe d’une quinzaine de lionnes.
D’abord quasiment seuls, d’autres véhicules n’ont pas tardé à faire leur apparition, se stationnant un peu n’importe comment, et commençant des manœuvres hasardeuses et dangereuses.
C’était réellement stressant et pour nous, qui étions clairement coincés au milieu de véhicules, et surtout pour les lionnes, qui commençaient clairement à s’exciter et à montrer des signes de nervosité/agressivité. Nous avons vu une lionne prête à bondir sur le véhicule devant nous.
Franchement, ça a un peu gâché le moment. Les gens veulent tellement être devant tout le monde, qu’ils font tout et n’importe quoi, au détriment du respect et des autres gens, et surtout, des animaux. Je condamne ce genre de comportement, mais ça reflète bien l’humain, qui en veut toujours plus, alors qu’il suffisait de s’arrêter, de couper le moteur, et d’observer ces lionnes chasser.
• La grâce des girafes
Autre animal majestueux et emblématique de Namibie : la girafe. Nous avons pu en voir un peu tous les jours, dans différents endroits. Notre rencontre ce jour-là a duré un peu plus longtemps, puisque nous étions aux abords du point d’eau Olifantsbad, et une girafe est arrivée pour boire, soit la position qui la met le moins en valeur. Outre le fait qu’elle nous observait beaucoup, nous avons pu la regarder boire. Nous étions seuls, avec cette girafe en face de nous, c’était magnifique.
Ce voyage aura été, à tout point de vue, exceptionnel. On ne peut pas imaginer la variété de paysages et d’espèces que l’on va croiser sur les terres namibiennes. Nous avons beaucoup roulé, avec plus de 4500 km parcourus sur deux semaines, et nous n’aurons pas eu beaucoup de repos salvateur, ce qui aura souvent mis nos nerfs à rudes épreuves. Pour autant, si c’était à refaire, je le referais avec grand plaisir. Nous n’avons pas vu tout ce que ce pays merveilleux a à offrir, de loin pas même, mais on peut le dire : on a fait la Namibie… même sans avoir crevé un pneu !
Forcément, voir les animaux en liberté, ce qui implique également des cadavres de proies ayant fait le festin de prédateurs, change notre vision des choses… Par exemple, en 2022, lorsque nous étions à Budapest pour le trentième anniversaire de Pépito, nous voulions voir un coaster abandonné qui se situe dans un zoo. Nous avons donc payé l’entrée, mais ne pouvions pas accéder au coaster, donc nous avons décidé de faire le tour du zoo. Et bien, nous sommes sortis de là, totalement déboussolés, mal à l’aise de voir ces animaux dans des enclos aussi petits. Rien à voir avec le parc zoologique de Mulhouse qui prend soin de ses animaux, qui leur rendent bien avec depuis quelques années des naissances rares.
Ce voyage aura décidément été une aventure unique. Nous en sommes revenus évidemment épuisés, loin des vacances farniente et repos. Mais on le savait avant de partir, ce serait de la bonne fatigue, car ce voyage nous laisse une marque indélébile dans le cœur, et aujourd’hui, on rigole de toutes les péripéties hasardeuses qui ont croisé nos gravels roads namibiennes. Si c’était à refaire, ça serait un grand OUI !
Posté le 29/07/2023
Bonjour Nathalie, Très belles photos animalières et de paysages. Je vais en Namibie à l’automne prochain, et je me pose naturellement quelques questions : Est-ce que ton drone a été mis sous scellés à l’entrée du parc ? As-tu été contrôlé à l’arrivée à l’aéroport ?
As tu conservé tes plans de vol, c’est vraiment le parcours du combattant pour obtenir l’autorisation d’importer un drone (je serai intéressé de les connaitre, puisque tu as obtenu le feu vert de l’aviation civile namibienne).
Quel téléobjectif as-tu utilisé pour obtenir de tels clichés ? Merci pour tes réponses. Amicalement .
Bonjour Nathalie, merci pour ta réponse. Je suis vraiment intéressé par tes plans de vol, par contre je ne suis pas sur Instagram, peux-tu me les envoyer soit sur WhatsApp soit par mail. Autre question concernant le transfert bancaire de la taxe à la NCAA, tu es passé par quel organisme de transfert, il faut sans doute majorer la somme de frais supplémentaires. Merci également pour le tuyau concernant la location de matériel photo, j’ai un réflex Canon avec un 70/200 ce qui est un peu court, j’envisage peut être d’utiliser un multiplicateur de focale. Je vais continuer à lire… Lire la suite »
Photos absolument magnifiques ! Bravo l’artiste ♥️
Nan mais wow ! Franchement les photos sont incroyables et d’après ce que tu nous racontes ça avait l’air fou !
On voyage à travers ton récit, alors merci !!
seeyou
'ON FAIT COUCOU
LES P'TITS GARS'