ENCORE UN BOUT DE
🇫🇷 PAYS BASQUE 🇫🇷

Le Pays-Basque. Haaaaa le Pays-Basque ! Après notre court séjour du nouvel an, j’avais très envie de retourner sur ces terres pour les faire découvrir plus précisément à Pépito, avec ce que j’avais déjà vu/fait, c’est-à-dire, de loin pas tout ! Ça, c’était dans la théorie, mais comme d’habitude, rien ne s’est vraiment passé comme prévu.

Si je devais résumer cette semaine au Pays-Basque, je dirai que c’est avant tout…de la poisse, beaucoup de poisse même. Il n’y a pas eu un jour sans son lot de reprogrammation. Mais au final, je crois que ce fût aussi les vacances les plus farniente et repos que nous ayons pu faire !

Le Pays-Basque. Haaaaa le Pays-Basque ! Décidément, tu m’étonneras toujours.

ciboure ziburu thumbnail pays basque tourisme pyrenees atlantiques

AUX INSOLITES DES FEUILLARDIERS

J’ai reçu de mes amis pour cadeau d’anniversaire une box proposant une nuit pour deux avec petit-déjeuner en France. Une opportunité qui tombait à pique pour faire le trajet jusqu’au Pays-Basque en deux fois. C’est donc “Aux insolites des Feuillardiers”, à Cussac dans le Limousin, que nous avons déposé nos bagages pour profiter de ce merveilleux cadeau.

Notre zome (qui est une chataîgne géante) est situé en pleine nature, où le silence et la quiétude sont maîtres. Un endroit magnifique, à l’écart de tout, avec comme seules mélodies le chant des oiseaux et les feuilles d’arbres qui sifflent au gré du vent. Petit bonus pour les toilettes sèches avec une belle vue. La vie, la vraie.

Pas de prises électriques (on s’en fiche, il n’y avait pas de réseau non plus), pas de robinet d’eau, mais tout ce qu’il faut pour faire un feu, une toilette, un pique-nique. C’était si agréable de se réveiller avec les rayons du soleil venant timidement fouetter notre visage par l’étoile au plafond du zome. Un petit paradis sur terre, tenu par des propriétaires sympathiques et généreux, qui nous ont accueillis comme des rois, et même prêté des bottes pour pouvoir se balader dans les champs alentours malgré la pluie. Et que dire du petit-dej ? Une dinguerie. Des produits frais, faits maison, en quantité plus que suffisantes. Une expérience fabuleuse que je recommande vivement à toute personne se trouvant dans le Limousin ! Merci les copains, c’était génial !

Hep hep hep Nathou, tu nous as promis de l’anecdote crousti-poissarde, alors elle est où ?! Arf… c’est vrai que ça a été aussi ma première grosse frayeur avec le drône (tout neuf). Comment ne pas vouloir prendre en photo le zome vue du ciel ? Alors entre les gouttes, nous sommes sortis. UAV Forecast était d’accord avec nous, les conditions de vol étaient favorables, on pouvait y aller. C’était sans compter la météo plus que capricieuse, qui après une bourrasque nous a fait perdre la connexion avec le drone. Il n’était plus là. Ni à vue, ni sur l’écran. Dans ma tête il n’y avait que 2 possibilités : il allait terminer dans un arbre ou contre la ligne moyenne tension à proximité. Pepito a tenté le retour au point de décollage, et il est réapparu, indemne, comme par miracle. Une bonne frayeur pour commencer les vacances.

NOTRE RÉSIDENCE PIERRE & VACANCES, LE DOMAINE DE BORDABERRY

Le domaine de Bordaberry se situe à Urrugne, sur la route de la Corniche, entre Hendaye et Saint-Jean-de-Luz. Elle est entourée de 12 hectares de nature préservée, d’un parcours de santé et d’une vue sur l’océan à tomber dont on a largement profité, contrairement à la piscine qu’on n’a pas franchement eu l’occasion d’approcher, vous comprendrez vite pourquoi.

Nous récupérons la clef de notre studio, le n° 26 (heureux hasard, nous avions le même numéro d’appartement lors de notre séjour à l’Île d’Elbe), bâtiment Jaxu surplombant le site, et avec un grand parking à proximité.

Nous avions un studio pour 4 à 5 personnes, avec de la place, et tout le matériel de première nécessité : vaisselle, draps, serviettes de bain, produits ménagers. Le seul bémol serait l’absence de wifi et de réseau dans notre bâtiment car situé en zone naturelle protégée. Disons que nous avons du passer plus de temps que prévu à l’intérieur, et un peu de wifi n’aurait pas été de trop pour regarder un film/une série, mais que je préfère préserver les lieux naturels comme celui-ci que d’avoir du réseau 🙂 Le plus beau film, c’était d’avoir un faisceau de l’océan qui se dessinait par la fenêtre chaque matin et chaque soir.

À LA RENCONTRE DES CÉTACÉS AVEC EXPLORE OCÉAN

Pour faire simple, depuis ma première fois au Pays-Basque, je rêvais purement et simplement de monter à bord de l’Atalaya pour aller à la rencontre des cétacés. Grâce aux biologistes d’Itsas Arima, une association dont l’objectif principal est de réaliser un suivi des populations de mammifères marins des côtes basques et landaises, ça devenait concret et possible.

L’expédition, organisée par Explore Océan, se fait à la journée et a un coût : 126€ par personne. MAIS j’en rêvais, et je savais à quoi servirait l’argent. Je n’ai donc pas hésité une seule seconde lorsque l’opportunité s’est présentée, les expéditions ayant reprises chaque dimanche au mois de juin.

Nous avons pris place à bord du catamaran, sous un soleil qui annonçait une journée magnifique, en direction du Gouf de Capbreton. J’étais surexcitée comme jamais. Sur le chemin, nous apprenons plein de choses sur les espèces de dauphins et mammifères marins en général. L’équipe est pédagogue, intéressante, à l’écoute. Il régnait sur ce bateau une ambiance conviviale et amicale.

Puis il y a eu de la houle, beaucoup de houle, trop de houle pour aller plus loin. Nous avons du rebrousser chemin au bout d’une bonne heure de trajet, et après qu’environ 90% des passagers aient passé la tête par dessus bord pour vomir tripes et boyaux. Moi, j’allais bien, j’avais le ciré jaune et la marinière qui sont clairement une immunité absolue sur un bateau, non ? Pepito, lui, était plus que ravi de retrouver la terre ferme. Nous avons été intégralement remboursés, faute de pouvoir revenir le dimanche suivant.

À la place d’aller voir les dauphins, nous sommes rentrés au studio, et nous avons passé une partie de la journée à regarder Toy Story à la télé et à dormir, avant de prendre le Topo, ce fameux train reliant Hendaye à San Sebastian.

MONTE IGUELDO, LE PARC D’ATTRACTIONS À LA VUE INCROYABLE

Nous avions un but très précis en allant à San Sebastian : découvrir le petit parc d’attractions du Mont Igueldo, où se niche un coaster. Et ça se mérite… 35 minutes de marche entre la gare et le funiculaire du Mont Igueldo (pour l’ascension, on repassera). Il fait gris, il y a un crachin désagréable, nous sommes en juin et ça caille. La dernière fois, on était en décembre, et on était en tee-shirt. A part ça, TOUT VA BIEN.

Nous arrivons là-haut, et nous tombons sur “la rivière mystérieuse”, une balade en barques au fil de l’eau. Malgré le monde sur place, personne dans les barques. On se demande bien pourquoi. Ha, si, peut être parce que l’air était déjà bien assez humide pour ne pas en rajouter. Mais puisqu’on est là, dans un cadre à couper le souffle, on sera les deux fous en k-way sur une barque se promenant au bord des falaises. Ça a incité quelques personnes à nous suivre, sachez-le. Petit bonus sur la fin de parcours dans une grotte aux décors douteux et incompréhensibles (bon sang, que viennent faire Peter Pan et Hercule au milieu d’une sirène et d’un dragon ?! Chapeau à celui qui a mis ça en place).

On continue la visite en direction de l’allée principale. Je m’arrête devant une “course de tortues” (pas des vraies hein, un genre de derby mais avec des tortues), et me confronte à d’autres personnes dans l’espoir de gagner une peluche contrefaite tout droit commandée sur Wish. Mais je m’en fout, c’est fun, et pour tout le monde, enfants comme adultes ! Malheureusement, je n’ai pas eu la chance de gagner la version féline de Chucky…

Pas grave, on fonce vers notre graal du jour : le coaster. La montana suiza, qui, comme par hasard, a attiré du monde en même temps que nous. On prend place dans cette antiquité de 1927, à la banquette en bois d’origine. Je n’avais jamais fait un truc pareil. C’est immonde en terme de sensations, mais rien que pour la vue, ça vaut vraiment le détour ! C’est sure que c’est tape-cul et bruyant, et que l’opérateur est avec nous sur l’engin tant le bazar est daté, mais Pépito vous dira que c’est avant tout une chance de pouvoir tester les balbutiements des coasters, et c’est mythique. Je confirme, on s’est quand même régalés. La vue putain, la vue…

On finit le tour du parc, tranquillement. En même temps, c’était plutôt rapide puisqu’il n’y a que très peu d’attractions, ce qui n’enlève rien au charme des lieux. Monte Igueldo ne nous laisse pas indifférent. Nous repartons vers la gare, en longeant l’océan, un +1 au compteur coastercount (oui, on en est là…).

VISITE DE FONTARRABIE, LA VILLE COLORÉE

Nouvelle journée au Pays-Basque, et un soleil toujours aussi timide. Petit programme, avec la visite de Fontarrabie, situé à la frontière, côté espagnol.
L’intérêt de Fontarrabie, ou Hondarribia en espagnol, se trouve surtout en son centre historique, dont le périmètre est délimité par des fortifications. Bon, nous, nous avons du patienter avant de pouvoir y entrer, puisque les seniors avaient décidés de manifester à ce moment-là pour leur droit à la retraite.

Une fois à l’intérieur de la vieille ville, nous avons pris beaucoup de plaisir à nous égarer dans les rues pavées, le regard attirés sur les maisons aux balcons colorés. Notre route nous a mené jusqu’au château de Charles Quint et l’église Saint-Marie de l’Assomption, deux des joyaux historiques de Fontarrabie.
La visite était plutôt rapide, mais très agréable, avec peu de monde à cette période. Parfait pour une demi-journée !

PROMENADE LE LONG DE LA ROUTE DE LA CORNICHE, D’HENDAYE À SOCOA

Depuis la résidence, impossible de ne pas succomber à l’envie de marcher sur le sentier du littoral. Bon, je ne vais pas vous mentir, on n’a pas marché de Hendaye à Socoa, encore moins avec tout le matériel photo sur le dos, mais nous avons marché suffisamment longtemps pour en prendre plein la vue… Ces falaises me feront éternellement le même effet. On se sent si petit face à l’immensité de la nature. Le bruit des vagues qui se fracassent contre les rochers, c’est un peu le meilleur son que ce monde nous ait donné.

On se rendra à Socoa plus tard dans la semaine, pour admirer le seul coucher de soleil, et l’immortaliser.

fort socoa ciboure saint jean de luz pose longue
ciboure saint jean de luz fort socoa paysage photographie

VISITE DE BAYONNE SOUS LA PLUIE

Ce serait mentir que de dire que nous avons visité Bayonne dans son intégralité. En réalité, nous n’avons même pas aperçu les arènes… Une fois encore, la pluie avait décidé de se joindre à notre visite.

Nous avons passé la première averse à l’abri, au chaud, à nous régaler avec la cuisine vegan proposée par Xafla, un restaurant malheureusement définitivement fermé depuis.

Les quelques éclaircies nous ont donné espoir de passer entre les gouttes, juste le temps de se balader dans le centre de la ville. Le diocèse de Bayonne était proche, mais une averse ne nous aura pas épargné, et nous avons fini trempés jusqu’aux os avant de trouver un coin où nous mettre à l’abri. Trop tard, nous décidons finalement d’écourter notre visite, et de rentrer nous mettre au chaud…

LA SCHKOUMOUNE À L’ESPAGNOL

Ca me paraissait évident qu’en partant vers l’Espagne, la météo serait plus clémente, et c’était bel et bien le cas. Nous nous sommes levés à l’aube pour être le plus tôt possible à Kortezubi, pour faire découvrir à Pépito la Forêt de Oma, cette fameuse forêt où l’art s’incorpore à la nature qui m’avait tant plu quelques années auparavant.

Effectivement, nous sommes arrivés les premiers sur place, très tôt. Nous étions également surement les premiers de la journée à tomber sur le panneau interdisant l’accès à la forêt aux personnes, pour cause de rénovation. Une forêt… fermée au public… pour cause de rénovation… Comment c’est possible ??!

route pays basque espagnol bilbao ocean atlantique

J’étais totalement frustrée et dépitée sur le coup, mais pas assez pour me décourager de la suite du programme, qui s’annonçait mythique surtout pour Pépito. On reprend donc la route en direction de Bilbao, pour s’arrêter à San Juan de Gaztelugatxe.
Si ce nom ne vous dit rien, le paysage ne sera certainement pas inconnu aux inconditionnels de Game of Thrones ! Ce lieu est une pépite devenue peut être un peu trop touristique suite à la diffusion de la série, mais ça n’enlève rien au plaisir de la découverte. Il est vrai que c’est toujours sympa de voir les lieux de tournage d’une série de ses propres yeux.

Du coup, pas de château, pas de dragons, mais le fameux escalier et ses 241 marches creusées dans la roche. Nous sommes partis à l’assaut de San Juan de Gaztelugatxe en converses/vans, le panneau de direction indiquant 1 petit kilomètre jusqu’au point de chute. Facile. Le deuxième panneau plus loin indiquait lui aussi 1 kilomètre… ça commençait à devenir bizarre cette affaire là. C’est ainsi que nous avons en réalité marché 2,8 km sur des chemins en lacet et pavés. Une aubaine.

Arrivés en haut, nous avons vu ce que je redoutais le plus : une horde de lycéens en troupeau qui montaient les marches en courant. En 5 minutes, ils étaient là, et ont pris possession des lieux. Nous sommes restés une bonne heure près de la Chapelle au sommet, avec des jeunes irrespectueux des lieux (ça jetait mégots et papiers de partout en pleine nature) qui ont chacun à tour de rôle fait sonner les cloches de la Chapelle. Et ils étaient nombreux… Une aubaine.

BALADE BUCOLIQUE DANS L’ARRIÈRE PAYS

Vous noterez que malgré un soleil qui aime jouer à cache-cache, nous n’avons pas eu de pluie. ALLELUIA !

Lorsque nous avons programmés notre séjour, nous sommes tombés sur un site proposant des trails . Notre choix s’est tourné vers Utsuskulu Banka, un parcours trail “facile” que nous avons transformé en randonnée bucolique.

chemin randonnee trail pays basque montagne

LA P’TITE RANDO

Utsuskulu Banka (n° 6)

📍 Départ :
Banca, centre village

💥 Difficulté :
Ça pique

🕑 Durée :
4 heures pour les 8,5km

🗻 Dénivelé :
Asthmatiques, prenez votre inhalateur (+485m)

Attention, vous n’aurez pas de réseau sur tout le parcours. Nous avons fait des captures d’écran de la carte au préalable pour être sure de notre chemin, parce que parfois, les doutes sont permis.

La randonnée nous a amené à ouvrir des portails de propriétés privées, à visiter une maison abandonnée, à cueillir quelques cerises, et surtout, à croiser en plein milieu de nul part, des cochons, un troupeau de brebis dans la forêt, et pour finir, des vaches et taureaux seuls en balade sur la route.

A part ça, l’itinéraire nous a surtout permis d’être seuls au monde, dans l’arrière pays, entre champs, forêts, rochers et montagnes. Nous avons eu la chance de pouvoir observer à plusieurs reprises des vautours fauves, rapace emblématique des Pyrénées, et c’était grandiose.

C’est aussi ce jour que Pépito, trépied sur le sac à dos tout du long, a perdu le bitoniau qui permettait de solidariser un appareil photo audit trépied (qui n’existe évidemment plus dans le commerce). C’est aussi ce jour très précisément, qu’on s’est dit que définitivement, on n’arriverait pas à avoir un jour normal. Dans le village de Banca, point de départ de notre marche, se trouvait un petit snack. Tout le temps de la rando, nous pensions à la crêpe de la win qui allait s’en suivre. C’était sans compter le fait qu’un enterrement avait rassemblé tous les habitants de ce petit village, et que donc, le snack était fermé très précisément à ce moment-là, pendant la messe et avait prévu sa réouverture 1h30 plus tard. YES !

On ne s’avouera pourtant pas vaincus, et on ira déguster la meilleure glace à la vanille que j’ai mangé de ma vie, à Saint-Jean-Pied-de-Port.

DE LA RHUNE AUX GROTTES DE SARE

Si je vous disais que pour ce last but not least jour au pays basque, nous avions pour objectif La Rhune ? Nous nous levons encore une fois à l’aube, avec ENFIN du soleil et pas un nuage à l’horizon. Là encore, pas question d’arriver à 11h et de poireauter pour pouvoir prendre le petit train. On arrivera sur place à 7h30, pour un premier train que nous pensions à 8h00 mais qui était en réalité à 9h00, soit le temps pour les nuages de faire leur apparition et de nous faire renoncer à monter.

orchidee sauvage sare pays basque nature

On ira donc finalement 10 km plus loin, visiter les grottes de Sare. 10h00, pile à temps pour être les premiers de la journée. Notre guide nous emmène dans la grotte Lezea, qui est la grotte principale, à la découverte de la préhistoire et de l’histoire. La visite dure une heure, et est très bien faite, avec des jeux de sons et lumières permettant une immersion totale.
En plus de l’aspect historique des lieux, la grotte regorge de nombreuses espèces de chauve-souris. La guide nous l’a assuré : le premier groupe de la journée, en plus en petit comité, aura le droit à un spectacle des chauve-souris ! Résultat : 3 mammifères croisées dans la grotte, soit autant d’individus que je peux observer chez moi, dans le mur de ma maison où elles se sont installées. Pas grave, Pépito et moi nous sommes regardés, et dans nos yeux, on pouvait lire “ça aurait pu être un spectacle incroyable si nous n’avions pas été là”. Poissards un jour…

BIENVENUE AU GARAGE LUZIEN !

stand food drink le garage luzien concerts soirees

C’est au détour d’un passage par Saint-Jean-de-Luz très rapide que nous sommes tombés devant “le Garage”, qui ouvrait ses portes le soir même pour sa soirée de lancement. “Le Garage, plus qu’un bar, un lieu de vie”.
Le concept du Garage Luzien, c’est de proposer des stands streetfood, des bars, et des concerts. De quoi passer une excellente soirée ! Et quoi de mieux pour profiter de sa soirée que de ne pas avoir à se promener avec de l’argent liquide ? Le garage propose une carte en système cashless, ou de payer directement via leur application Fetakutx. Simple, rapide, efficace.

La promesse est tenue, nous avons passé une très agréable soirée, à déguster un peu dans le désordre une assiette de charcuterie et de fromage, une glace roulée, une pita… Tout était excellent !
Nous avons ensuite sagement attendu le concert, et alors que tout se déroulait parfaitement bien (ce qui, si vous avez lu le cheminement de notre semaine, tenait du miracle), il a fallu que je me prenne en pleine tronche un fluo jaune OUVERT tombé de nulle part. J’étais assise, en plein milieu de la foule, mais c’est sur ma gueule qu’il est tombé, en m’arrosant généreusement de fluo. Après le fou rire de Pépito, nous avons décidé de mettre les voiles et que je méritais une bonne douche pour m’enlever le jaune des cheveux.

NOS AU REVOIR AU PAYS BASQUE…SOUS LE SOLEIL

Rien ne s’est donc passé comme prévu. Vraiment rien. Je devais faire découvrir des petits trucs à Pépito, et au lieu de ça, nous avons profité de ces instants pour découvrir ensemble de nouvelles choses, et c’était génial au final (bien que je dois l’avouer, un peu moins de poisse n’aurait pas été de refus).

route corniche sentier littoral paysage nocturne photographie

Nous quittons le Pays-Basque le matin, sous un putain de soleil radieux et chauffant, après une semaine à se les peler. La météo ne manque pas d’air quand même…(LOL). Il faut savoir que la semaine avant notre arrivée, il avait fait beau, et qu’à partir du moment où nous sommes partis, il a fait soleil pendant longtemps, très longtemps.

photographie drone dji spark ciboure pays basque

Pour profiter de ce soleil, nous avons décidé de nous arrêter à la Dune du Pilat, que Pépito n’avait jamais vu. Là encore, ça donne lieu à anecdote. Je vous remets les choses dans leur contexte : nous sommes partis avec un sac de course “fromagerie de Savoie” pour amener une serviette de plage (Pépito a eu le courage de se baigner), en chaussures de marche, short de bain, chaussettes, sac à dos pour moi et l’appareil photos. Jusque là, on avait l’air de deux pecnos, mais on s’en foutait un peu. Puis, on a vu des gens sur les hauteurs de la Dune, au Nord, et on s’est dits “ça doit être sympa la vue là-haut, remontons par là du coup”. Nous entamons l’ascension, et arrivés en haut, nous tombons sur la terrasse d’un hôtel de luxe. Quel moment de solitude… Nous avons donc du traverser l’hôtel pour pouvoir sortir, avec nos dégaines de poisseux plein de sable, mais comme on est polis, on a dit bonne journée au personnel.

Sur la route du retour, j’ai eu très envie de m’arrêter à Angoulême, ce que nous avons donc fait en quatrième vitesse. De ce que nous avons vu, c’est une superbe ville, dont beaucoup des façades et vitrines sont décorées par les personnages de bande dessinées que j’aimais tant étant gamine. Avec Pépito, on s’est fait la promesse de venir réellement visiter Angoulême dès notre prochaine visite du Sud-Ouest, pour espérer cette fois-ci faire tout ce que nous n’avons pas pu faire !

Combien

ça coûte ?

Hébergement, 253,06€ /pers.
pour 7 nuits

Taxe de séjour incluse

Expédition cétacés, 126€ /pers.
 
Topo entre Hendaye
et San Sebastian,
5,30€ /pers.

Prix pour un aller/retour

Attractions
de Monte Igueldo,
5,50€ /pers.

 
Grottes de Sare, 9€ /pers.
 
Le Garage Luzien, 25€ /pers.
Repas et boissons

Total
423,86€ /pers.

Hors frais de repas, parkings,
péages et carburant.

signature nathou jolies choses blog cinéma theatre voyages musique

Posté le 14/06/2020


'ON FAIT COUCOU
LES P'TITS GARS'

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4 Commentaires
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Roh ma chérie tu me donnes trop envie d’y retourner 🤩🤩🤩 ça me manque !!! Le rêve ce serait un jour d’aller tous ensemble la bas ❤️

Mais quelle aventure !! Merci de l’avoir partagée, a l’état brut. Avec ses hauts et ses bas (plutôt nombreux c’est vrai) mais ne serait-ce pas ce qui donne tout le charme à cette épopée ? Qui serait sinon restée un banal voyage…(encore que; avec le nombre d’activités réalisées c’est difficile d’employer ce terme!)
J’ai adoré te lire et découvrir ces belles photos !

Le p'tit chouchou

@lesjolieschosesdenathou