JE N’AIME TOUJOURS PAS
LES SÉRIES 📺

Je vous en parlais déjà longuement dans mon précédent article, mais pour moi, c’est LA série française qui fait un sans faute et qu’il faut impérativement regarder…

“Après une crise inattendue, l’une des meilleures agences parisiennes de promotion d’artistes tente de préserver la satisfaction de ses stars… et sa propre rentabilité.”

Source : Netflix

L’évolution des personnages, les “intrigues”, les guests, tout est parfaitement parfait. Le duo Hervé (Nicolas Maury) / Noémie (Laure Calamy ) est pour moi inoubliable. Ils sont fous, doux, drôles, entiers, touchants, et surtout, ils sont cultissimes, que ce soit ensemble ou séparément.
J’ai énormément ri devant cette série, j’ai découvert ou redécouvert de grands talents, j’ai même versé quelques larmes… maintenant, j’ai plus que hâte de voir ce que va donner la suite, avec la saison 5, dernièrement annoncée.

Bon… je vous renvoie une nouvelle fois à mon précédent article, même s’il n’est plus du tout à jour concernant les personnages récurrents, mais je regarde encore et toujours PBLV chaque soir, en rentrant du boulot. Héééé oui, c’est mon pas de côté du quotidien, qui me fait me déconnecter de ma journée de travail. Pour certain, ce sont “Les anges de la téléréalité”, pour moi, c’est PBLV, mon cocon-concon à moi. Oui, je regarde PBLV et je n’ai (plus) honte.
Je serai curieuse de savoir qui regarde tout comme moi PBLV, ou à défaut, quel est ton feuilleton/émission à la con préféré(e) ?

LIFE IS UNFAIIIIR. C’est peut être la série qu’on a mis le plus de temps à regarder, parce qu’on a fait de nombreuses pauses entre les saisons. Pas que je n’apprécie pas hein, au contraire, j’aime tellement ces séries sans prise de tête, mais pour ne pas se lasser.

“Petit génie malgré lui, Malcolm vit dans une famille hors du commun. Le jeune surdoué n’hésite pas à se servir de son intelligence pour faire les 400 coups avec ses frères. Et les parents tentent tant bien que mal de canaliser l’énergie de ces petits démons.“

Source : Allociné

Ce n’est de loin pas la série du siècle, mais j’ai vraiment apprécié suivre l’évolution des personnages au fil des saisons (Dewey forever), qui sont tous attachiants. Certaines répliques ou scènes sont aujourd’hui cultes, et pourtant, même si je les avais déjà entraperçues sur les réseaux, je n’avais jamais regardé la série. Shame on me, mais maintenant je sais d’où est issu le Jeu de l’œil. Même si ce n’est pas le genre de série que l’on re-regarde tous les 4 matins, je pense que j’aurais plaisir à revoir de temps en temps un épisode lorsqu’ils repasseront pour la dix-millième fois à la télé.
La vérité, c’est que si nous avons regardé cette série, c’était pour une seule raison : Monsieur Bryan Cranston. A chaque épisode nous nous faisons la même réflexion, comment a-t-il pu passer de Malcolm à Breaking Bad, COMMENT ? C’est un génie ! Un acteur de très grand talent que j’adore découvrir dans des séries totalement à l’opposée les unes des autres. Prochaine étape : “Your Honor”, pour avoir toujours un peu de Bryan sous le coude.

On m’en avait tellement parlé, et j’avoue que… flemme de regarder ce que tout le monde regarde même si je finis toujours par regarder ce que tout le monde regarde, u know what I mean ? Bon alors 1000 ans plus tard, voilà, Pepito réussit à me convaincre de regarder, parce qu’à force d’entendre que c’est LA meilleure série de tous les temps, il faut bien se lancer.

“Un professeur de chimie atteint d’un cancer s’associe à un ancien élève pour fabriquer et vendre de la méthamphétamine afin d’assurer l’avenir financier de sa famille…“

Source : Netflix

Que c’est lent… mais que c’est palpitant ! Parfois, mon impatience en souffre, mais je suis toujours en haleine et j’ai envie de connaître la suite. C’est comme ça qu’on enchaîne les épisodes chaque fois qu’on le peut, passant parfois la journée entière devant la télé. Il se passe 1000 choses au fil des saisons, je grince des dents, je stresse, je jubile, je souffle, je me cache les yeux parfois (parce que je suis un peu fragile, on ne va pas se mentir…). Mais surtout, je me délecte de chaque seconde et de ce scénario incomparablement génialissime, de ces personnages qu’on arrive à détester et à adorer en même temps. Jamais une série ne m’aura autant fait palpiter à ce jour. C’est un 100% de réussite, une grosse claque, et la fin la plus géniale de tous les temps.

Qui n’a pas entendu parler de 13 reasons why ? Ayant moi-même été harcelée durant ma scolarité, je voulais voir ce que donnait cette série qui a fait couler énormément d’encre à sa sortie. Si la saison 1 m’a tenu en haleine et m’a beaucoup plu, la saison 2 m’a beaucoup moins emballée. Ne me souvenant peut-être pas de tous les tenants et aboutissants, je l’ai longtemps laissé de côté en me disant que je regarderai la suite un jour, en faisant le repassage. Ce jour étant arrivé, j’ai embarqué Pépito dans le truc sans le vouloir, et on a pu regarder d’une traite la suite, jusqu’à la fin.

“Le jeune Clay Jensen se retrouve au centre d’une série de secrets déchirants qui prennent un tour tragique après le suicide d’une camarade de classe“

Source : Netflix

13 reasons why aurait pu être une série très courte, avec une saison unique. La saison 1 se place de toute évidence du côté d’Hannah Baker, qui dénonce le harcèlement dont elle a été victime. La saison 2 vient contrebalancer le personnage puisqu’à travers le procès et le témoignage de ses camarades de classe, on en apprend plus sur Hannah. Personne n’est tout blanc ou tout noir, et un tas de petites choses anodines peut devenir un fardeau trop lourd à contenir. Embrayer sur une troisième saison… de quoi allait-il pouvoir parler puisque la page Hannah Baker est définitivement tournée à la fin de la saison 2 ? Du harceleur et de toutes les vies détruites par les révélations passées. J’avoue avoir eu beaucoup de peine pour Bryce en en apprenant plus sur lui et la vie qu’il menait. Personne n’est tout blanc ou tout noir, je le répète parce que j’y crois sincèrement. Au final, les deux dernières saisons ont été de mon point de vue nécessaires, car elles viennent “terminer le puzzle”. En regardant cette série, j’ai beaucoup de sentiments qui sont venus s’entremêler, entre colère et tristesse. Je me suis attachée aux personnages et à leur histoire, et j’ai eu envie de les enlacer tous un par un.

Une note un peu plus joyeuse pour continuer, et beaucoup de légèreté !

“Dans cette série nommée aux Emmys, l’élégante Grace et l’excentrique Frankie sont amenées à se rapprocher quand leurs maris respectifs les quittent pour vivre ensemble”

Source : Netflix

Déjà, le pitch de base est hyper accrocheur. Grace et Frankie, c’est la promesse d’un très bon moment devant une très bonne série. Je confirme : quand une nouvelle saison sort, je suis dans les starting-block pour enchaîner les épisodes. C’est un vrai bonheur de suivre la vie sentimentale et amicale de ces deux femmes diamétralement opposées, qui vont apprendre à se connaître et à s’apprécier par la force des choses. Une vraie histoire d’amitié, des vraies histoires d’amour, et la vie de deux petites vieilles qui essayent de se retrouver après avoir vécu dans l’ombre de leur mari pendant des dizaines d’années. C’est drôle, touchant, plein d’ondes positives… Bref, tout ce que j’aime et recherche dans une série à dévorer durant le week-end. J’attends la suite (et fin a priori) avec beaucoup d’impatience !

C’est un peu complètement par hasard, en trainant sur Twitter, que j’ai entendu parler de cette série que l’on peut qualifier de totalement what the fuck. Particularité non négligeable : la VF n’existant pas, c’est en VOSTFR que vous devrez vous délecter des deux saisons disponibles (LV3 espagnol pour ma part, es plou facil hahaha c’est faux).

“La vie tranquille de Javier est bouleversée quand il se retrouve dans la peau d’un super-héros et que son ex-petite amie est chargée d’en découvrir l’identité cachée”

Source : Netflix

“Soy…. TITAN !”. Forcément, être obligé de regarder en VO ne dénature pas les personnages et leurs expressions, et ajoute la goutte de pili-pili qui manque parfois à certaines séries. Si vous cherchez une série complètement décalée où vous riez de bon cœur, je vous conseille à 1000% “Le voisin”. Ca se regarde très très bien et très très vite. Les situations sont de plus en plus improbables au fur et à mesure que l’histoire avance, les personnages sont plus bizarres les uns que les autres dans cet immeuble. C’est typiquement la série que l’on regarde sans conviction quand on n’a plus rien à regarder et qu’on tâtonne, et dont on bouffe les épisodes à la suite. C’est drôle, fun, exubérant, sans temps mort. C’est totalement le genre de série que je recommande pour son originalité. La saison 2 promet encore de grands moments pour Titan !

Après Breaking Bad, si vous n’ avez pas assez des substances illicites, et dans un registre plus léger tout de même, je vous propose How to sell drugs online (fast). Je la classe également dans ces séries qu’on regarde sans conviction quand un dimanche après-midi, on est incapables de se mettre d’accord sur quelque chose à regarder malgré les 12 séries qui attendent d’être visionnées dans notre liste. Ça se regarde facilement et rapidement.

“Pour reconquérir son ex, un ado fou d’informatique se met à vendre de l’ecstasy en ligne, et devient l’un des plus gros dealers d’Europe… sans quitter sa chambre”

Source : Netflix

Si le sujet de base (la vente de drogue) est assez grave dans une société comme la nôtre, on n’est de loin pas face à une série catastrophe et psychologique. Si on met un petit temps à s’adapter à l’environnement (pas de doute, on est en Allemagne profonde) et aux personnages un peu nonchalants, on se plonge assez vite dans l’histoire. Les saisons étant assez courtes (6 épisodes par saison), on reste un peu sur un sentiment d’inachevé (ou alors, on a envie de voir comment Moritz va se sortir du pétrin dans lequel il s’est mis). De quoi éviter que ça tire en longueur pour rien, mais peut être qu’un petit épisode de plus suffirait à contrebalancer ce sentiment d’incomplet. Si nous avons apprécié passer du temps devant cette série parsemée d’humour devant laquelle on ne s’ennuie pas, je ne pense pas que ça puisse plaire à tout le monde.

Faut-il vraiment présenter La Casa de Papel ? On en a tellement bouffé à toutes les sauces du Bella Ciao et du Dali que ça me parait inutile mais bon, au cas où vous veniez de sortir d’une faille spatio-temporelle de 5 ans, voici de quoi il en retourne…

“Huit voleurs font une prise d’otages dans la Maison royale de la Monnaie d’Espagne, tandis qu’un génie du crime manipule la police pour mettre son plan à exécution”

Source : Netflix

Au risque d’en décevoir plus d’un, je vais un peu décapiter gentillement cette série qui partait pourtant si bien. Qu’on soit clairs de suite : les deux premières parties étaient haletantes, entrainantes, vraiment un sans faute à mes yeux ! Je crois qu’on a regardé la première partie en une après-midi à peine, de quoi (presque) rivaliser avec Breaking Bad. Mais à vouloir être trop gourmands…parfois on se perd et la rançon de la gloire ressemble à un soufflé raté. Contrairement à 13 reasons why, qui a réussi à tirer son épingle du jeu et trouver un second souffle en prenant un virage dans l’histoire, j’ai eu le sentiment inverse avec La Casa de Papel… le sentiment du “bon hop c’est bon là, c’est plus possible, c’est tiré par les cheveux et ça ne tient plus la route”. Si bien qu’on a abandonné le projet dès l’épisode 2 de la partie 4… Nous ne savons pas comment s’en sortent Le Professeur et sa bande, peut être qu’un jour nous aurons la curiosité de regarder la fin, mais en attendant, nous avons été chacun très déçus de cette suite. On passe donc notre chemin… dommage.

“*Knock knock knock* Penny ! *Knock knock knock* Penny ! *Knock knock knock* Penny !” C’est clairement LA série qui a rythmé nos confinements de 2020… Commencé en mars, terminé en octobre, The Big Bang Theory restera à jamais dans un coin de ma tête comme étant une des séries que j’ai le plus apprécié. Elle est de ces séries que l’on peut regarder en boucle sans se lasser… une vraie petite pépite qui se calque sur le même format que Friends (que je n’ai jamais continué à regarder) ou How I met your Mother (que je viens de commencer).

“Deux jeunes physiciens et leurs amis geeks voient leur cercle social s’agrandir lorsqu’une actrice en herbe emménage dans l’appartement à côté du leur.“

Source : Netflix

“That all started with The Big Bang”. Devinez qui a envie d’acquérir les figurines pop de Sheldon, Leonard, Howard et Rajesh ? Les 12 saisons que composent la série voient ses personnages évoluer et devenir plus attachants les uns que les autres. Si au début de la série je dirai que Leonard est mon personnage préféré, la suite me fait dire que Raj prendra une place particulière dans mon coeur. Cette bande de potes geeks-intellos, presque toujours réunis dans l’appartement de Sheldon et Léonard ou à l’université puisqu’ils y travaillent tous, va faire du chemin durant toutes ces années et connaîtra un dénouement qui m’aura serré le cœur. Je n’aurais pas versé ma larme, mais presque. Je ne pourrais que vous conseiller cette série, pour son format qui se regarde sans voir le temps passer, mais aussi pour ses personnages atypiques et géniaux, remarquablement interprétés par des acteurs géniaux. Hey psssst elle est dispo en intégralité sur Netflix (encore eux…).

Tiens, une série hospitalière sur TF1. C’est vrai que ces dernières années, entre Good Doctor, The Resident, Doc, Grey’s Anatomy, New Am… si vous regardez toutes les séries médicales diffusées sur la chaîne, il y a de quoi devenir un peu hypocondriaque… Mon attention s’est tournée vers New Am(sterdam), parce que mine de rien, c’est à mon sens la série hospitalière la plus positive dans le tas.

“Le plus ancien hôpital des États-Unis accueille un nouveau directeur, le docteur Max Goodwin, bien décidé à changer les choses et sauver des vies.“

Source : Netflix

Bon, qu’on se le dise, ça ne vaut pas l’originalité de Dr House de mon point de vue, mais ça a le mérite de changer un peu de la série médicale traditionnelle. Dans New Amsterdam, on est plutôt dans un monde de bisounours, où peu de patients meurent, où le directeur de l’hôpital est malade mais soigne tout le monde en pensant au bien-être de son personnel et de ses patients etc etc. C’est tout de même très édulcoré, mais ça a le mérite de ne pas flinguer le moral du téléspectateur. Un peu de douceur dans ce monde de bruts ! Max Goodwin (déjà rien que son nom on sait qu’on va vers quelque chose de plutôt positif) est à deux doigts d’instaurer la sécurité sociale pour tous aux USA, c’est fabuleux ! Ce n’est pas la série du siècle, mais personnellement, elle cadre bien avec ma personnalité, et j’apprécie suivre l’évolution de cet hôpital. Maintenant si TF1 voulait bien ne pas attendre 2 ans entre chaque saison, ça serait cool.

Après The BBT, on était à la recherche d’une série dans le même genre : drôle, avec des épisodes courts (20 minutes), des personnages attachants et qui connaissent une évolution palpable. Sur recommandation de mes collègues, on s’est lancés dans Brooklyn 99. C’est très vite devenu un coup de cœur.

“L’arrivée au commissariat d’un capitaine très strict force Jake Peralta, jeune flic de Brooklyn brillant mais immature, à enfin obéir aux règles et travailler en équipe.“

Source : Netflix

Que dire de cette brigade un peu particulière en plein New York ? Ils sont tous fêlés là-dedans ! On se demande à chaque nouvelle saison ce qu’ils vont bien pouvoir encore nous inventer, et chaque fois, sans déception, ils mettent la barre un peu plus haut. L’ADN de la série est simple : franc, entier, avec de l’humour non-stop (parfois concon mais que dont je suis totalement réceptive), un condensé d’intrigues décousues, de situations burlesques, et de personnages (principaux ou secondaires) incroyables. Mention spéciale pour le Capitaine Holt, qui connaît une évolution des plus flagrante de la série. Une série fraîche, hilarante, qui laissera un vide immense en moi lorsque sa fin sonnera. En attendant, je me délecte de chaque saison, et savoure chaque épisode avec intensité. De la comédie pure, non sans âme. Je recommande +++.

De temps en temps, une série moins portée sur l’humour, ça ne fait pas de mal. Pour bien commencer 2021, nous avons attaqué Peaky Blinders, qui met en avant une famille de gangsters anglaise après la grande guerre…

“À Birmingham, en Angleterre, l’année 1919 est marquée par les exactions de l’impitoyable Tommy Shelby, un jeune chef de la pègre ivre de son désir de domination.“

Source : Netflix

Haaaa la famille Shelby… et notamment Tommy, que l’on voit désormais sur toutes les devantures de barbiers et coiffeurs. Je ne saurais par quoi commencer : les acteurs ne vous seront au premier abord peu familiers, exceptés peut être Cilian Murphy (Tommy) si vous avez regardé les Batman de Nolan, Helen McCrory (Polly) si vous êtes Potterhead. Peu importe car l’ambiance, les décors, les musiques, les costumes… tout est terriblement bien choisi et abouti, nous faisant oublier quelques petits passages non aboutis à mon sens. Qu’à cela ne tienne, le suspense autour du déroulé de l’histoire et du sort des personnages nous prend aux tripes et nous transforme en binwatcheurs compulsifs. Si ce n’est pas déjà fait, je vous incite vivement à vous intéresser à la famille Shelby, by order of the Peaky Blinders les jolies choses de Nathou.